Voiture de Bill Gates : Découvrez la marque et le modèle célèbres du milliardaire !

24 octobre 2025

Homme âgé au volant d'une voiture de luxe élégante

Dire que Bill Gates roule dans le sillage des superstars de la Silicon Valley serait un raccourci bien commode. Si son portefeuille pèse aussi lourd que celui de ses pairs, son garage, lui, tranche avec les conventions du bling-bling. Ici, la technologie prime, la fiabilité fait loi. Sa fameuse Porsche 959, arrachée à la bureaucratie américaine au terme d’un véritable bras de fer législatif, symbolise tout un art de vivre l’automobile : l’innovation avant l’apparat.

Ce rapport à la voiture, chez Gates, n’a rien d’anodin. Il ne s’agit pas seulement de collectionner des pièces rares ou de courir après la dernière nouveauté tapageuse. C’est une affaire d’équilibre, entre fascination pour la haute ingénierie et respect scrupuleux des lois, un contraste marqué avec la frénésie de certains géants de la tech pour les supercars ultra-exclusives.

Les voitures de rêve des milliardaires : entre passion et exclusivité

Imaginez la scène : des portes closes, peu de bruit, mais derrière, une sélection méticuleuse. Le garage de Bill Gates n’a rien d’un showroom tapageur. Ici, chaque modèle a sa raison d’être. La Porsche y occupe une place de choix, et la 959, en particulier, attire tous les regards. Véritable icône pour les passionnés, elle incarne à la fois l’avant-garde et l’exception dans le cercle très fermé des voitures de milliardaires.

Chez les très fortunés, les logiques divergent. Elon Musk, lui, a fait de la voiture électrique sa carte de visite, transformant chaque trajet en publicité grandeur nature pour Tesla. Marques Brownlee, figure montante du web, oscille entre bolides électriques et sportives plus classiques, illustrant cette nouvelle ère où le prestige rime avec technologie.

Trois milliardaires, trois philosophies automobiles, que l’on peut résumer ainsi :

  • Bill Gates : Porsche 959, une sobriété qui cache une prouesse technique.
  • Elon Musk : Tesla, incarnation vivante du constructeur de voitures électriques.
  • Marques Brownlee : mélange subtil entre innovation électrique et tradition sportive.

Même avec plusieurs milliards à disposition, il ne s’agit pas d’accumuler les trophées. Pour ces figures de la réussite mondiale, le choix d’un véhicule reflète une vision, parfois une philosophie de vie. Gates ne se contente pas d’un symbole de statut : la Porsche est un manifeste. Chez Musk, c’est l’élan vers demain qui s’exprime. À ce stade, l’automobile devient le prolongement d’un engagement, d’un récit personnel.

Pourquoi la Porsche 959 de Bill Gates fascine autant les amateurs d’automobile ?

La Porsche 959, loin d’être une simple voiture de luxe, incarne un sommet d’innovation. Ce modèle phare de la collection de Gates n’a rien à envier aux prototypes d’aujourd’hui. Sous son apparence discrète, la 959 cache un moteur six cylindres à plat biturbo, propulsant la voiture à plus de 315 km/h. À la fin des années 1980, aucune voiture de série ne rivalise sur le plan des performances et de la fiabilité. Voilà de quoi séduire les mordus de mécanique pointue.

Mais la magie de la 959 ne se résume pas à ses chiffres. Produite à seulement 292 exemplaires, elle fait appel à des matériaux révolutionnaires pour l’époque : carrosserie en kevlar, aluminium pour alléger l’ensemble, transmission intégrale pilotée électroniquement. Porsche voit loin, innove, écrit une nouvelle page de l’histoire automobile.

Acquérir une 959, c’est s’offrir un morceau de légende, à une époque où l’audace technique primait sur la démonstration de force. Gates, fidèle à son image de pionnier, n’a pas cédé à la tentation du clinquant. Il a choisi un modèle qui incarne la rencontre de la technologie, de la rareté et d’une vision de long terme. On peut posséder une fortune colossale : c’est la passion de l’exception qui fait démarrer le moteur.

Des anecdotes étonnantes sur l’achat et l’importation de modèles rares

Le parcours de Bill Gates pour acquérir sa Porsche 959 tient du feuilleton. Aux États-Unis, dans les années 1990, importer un tel bijou relevait de la mission impossible. La NHTSA, bras armé de l’administration, bloque l’entrée du modèle sur le sol américain, faute d’homologation aux normes locales de sécurité et de pollution. Résultat : la précieuse voiture reste consignée en douane, immobilisée pendant des années, on la surnommera même « la voiture la plus chère jamais stationnée sans rouler aux États-Unis ».

C’est là que démarre la saga de la loi “Show or Display”. Face à la grogne des collectionneurs, dont Gates fait partie, le Congrès finit par ouvrir une brèche dans la réglementation. En 1999, sous l’impulsion de Bill Clinton, une loi autorise enfin l’importation très limitée de modèles exceptionnels, produits à moins de 500 exemplaires. Gagner ce droit ne suffit pas : il faut encore s’acquitter de taxes et franchir les étapes d’une homologation sur-mesure.

Dans cette histoire, la richesse ne fait pas tout. Même avec plusieurs milliards en poche, Gates a dû s’armer de patience pour entendre le rugissement de sa 959 sur le bitume américain. Une expérience partagée par d’autres fortunés, prêts à déplacer des montagnes pour faire rouler leurs rêves mécaniques, quelles que soient les barrières administratives.

Voiture haut de gamme garée devant une maison moderne

Ce que révèlent les choix automobiles des plus grandes fortunes mondiales

Pour les hommes les plus riches du monde, la voiture n’est jamais un choix anodin. Elle traduit un mode de pensée, une part de stratégie, une passion parfois discrète, parfois revendiquée. Bill Gates, après le tumulte autour de la Porsche 959, n’a pas hésité à tester l’électrique avant que la tendance ne s’impose. Sa collection inclut une Porsche Taycan, preuve d’une transition réfléchie entre performance et conscience environnementale.

Chez Elon Musk ou Marques Brownlee, chaque choix de véhicule s’apparente à une déclaration. Musk ne quitte jamais son univers Tesla, transformant chaque déplacement en démonstration grandeur nature. Gates, lui, oscille entre ses classiques, comme la Porsche 911 Turbo de 1979, et les dernières innovations de la marque allemande.

Voici ce que ces choix révèlent :

  • La fortune permet d’atteindre des modèles inaccessibles au commun des mortels, et parfois même d’influencer l’industrie.
  • Chaque voiture, du mythe vintage à la berline électrique, trahit une intention et une vision personnelle.
  • Ces véhicules sillonnent la Californie, la Vienne autrichienne ou d’autres bastions de la réussite mondiale.

Le garage des milliardaires, à bien y regarder, vaut tous les récits. Il raconte des convictions, des envies, parfois des contradictions. Plus qu’un alignement de bolides, il dessine l’itinéraire secret des puissants, un miroir fidèle de leur rapport à l’innovation, à la tradition, à leur propre histoire.

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